Combats d’Indochine après DIEN BIEN PHU

En 1953, le Général Navarre prend le
commandement en Indochine. Au Nord, il doit
essayer de contenir les divisions Vietminh qui
s’apprêtent à déferler sur Hanoï. Ce sera Diên Biên
Phu.
Après l’armistice de Pan Mun Jon, le célèbre
Bataillon Français de Corée, qui s’est couvert de
gloire contre les chinois, arrive à Saigon pour être
transformé en régiment et constituer l’ossature d’un
nouveau Groupement Mobile, le G.M. 100.
Ce récit retrace l’histoire dramatique et peu
connue de cette unité, depuis sa formation et son
engagement sur les hauts plateaux, au début de
1954, dans le cadre de l’opération « Atlante ».
Ensuite, lorsque le Vietminh déclenche son
offensive depuis le Nord, le G.M. 100 est envoyé
d’urgence vers Kontum pour l’endiguer. A Plei
Rinh, le commandement a l’occasion d’emporter la
victoire. La saisira-t-il ?
Après de durs combats, alors que Diên Biên
Phu succombe et occupe la une de tous les journaux,
le G.M. 100 continue de tenir la camp retranché
d’An Khé pour empêcher l’ennemi de déferler sur
l’ensemble des Hauts Plateaux puis vers le Sud.
C’est alors, en juin 1954, un mois et demi après la chute de Diên Biên Phu, qu’arrive l’ordre
d’abandonner An Khé pour se replier sur Pleiku par la route 19, tenue en force et verrouillée par les
bataillons vietminh.
Tout est en place pour la tragédie.
Le 17 juillet 1954, trois jours avant la signature du cessez-le-feu à Genève, les compagnies du
1
er Bataillon de Corée luttent encore et se sacrifient au Sud de Pleiku.
Reproduction du texte figurant en 4ème page de couverture.



   Auteur : Jean-Pierre BERNIER.

PRESSES DE LA CITE.
Date de parution : 1977. 286 pages.

   

 

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